Indochine en concert : Du grand spectacle !
Une bombe atomique.
C'est bien l'effet que ce concert m'a fait ce soir.
Ce soir, le "meteor tour" d'Indochine passait donc à Nantes, plus précisément au Zénith pour la deuxième fois, après leur dernier passage le 23 Mars dernier.
Ce concert était le dernier en Pays de la Loire pour cette année.
Le concert commence à 20h30, mais l'ouverture des portes du Zénith se fait dès 18h30.
On passe donc par le Leclerc juste à coté, histoire d'acheter quelques sandwichs, ainsi qu'une bouteille d'eau.
On va direct au Zénith donc, dans la file "Accès VIP" (trop classe, en passant) puisque nous avions des places invitées.
Mais VIP ou pas, le mec de la sécurité nous a chipé notre bouteille d'eau, et on a même pas pu la récupérer !
Après cette grande mésaventure, nous sommes donc rentrés, pour attendre jusqu'à plus ou moins 20h, pour que Suzanne Combo, qui assurait la première partie, rentre en scène.
Suzanne Combo, c'est celle qui chante avec Indochine dans la chanson "Un ange à ma table" :
Un petit quart d'heure d'attente, et le noir.
Une vidéo projetée sur une grande toile : les visages d'Hitler et de Staline sont les premières choses qui apparaissent.
Alors, attention, Indochine ne fait pas de propagande, rassurez-vous, c'est juste que le thème principal du concert était la guerre, et que l'ouverture était donc en rapport.
Puis la voix de Nicolas Sirkis qui se met à chanter et, bon sang ! mais où peut donc bien être ce sacré Nicolas, il n'y a même plus de scène !
Puis la toile tombe, et le public en folie - parce que oui, ce soir, un public "en folie" n'est même qu'un euphémisme - découvre donc le groupe Indochine mené par Nicolas qui commence avec une chanson en hommage à son frère.
Je ne saurais vous citer l'ordre des chansons, mais je peux vous dire qu'il y avait Little Dolls, Play Boy, Le Lac, Un ange à ma table (avec Suzanne Combo qui est revenue sur scène pour le duo) de l'album "La république des météors" ainsi que 3 nuits par semaine, L'Aventurier, Kao Bang, ou J'ai demandé à la lune.
Il y en avait d'autres bien sûr, mais je ne me souviens plus de toutes (d'autant qu'il y en avait 1 ou 2 que je ne connaissais même pas).
Et des lives de fou quoi !
Que ce soit pour 3 nuits par semaine ou pour L'Aventurier, on a vraiment eu le droit à de vrais lives, des chansons un peu modernisés, mais juste ce qu'il faut, et du pure Indochine.
C'est avec l'ouverture de l'Aventurier que j'ai trouvé le mot qui convenait le mieux pour ce concert.
5 écrans se trouvait derrière la scène, diffusant des vidéos pendant les chansons, et nous pouvions regarder une scène de guerre alors que le groupe n'était plus sur scène en attendant.
Nous ne savions pas trop à quelle chanson s'attendre après ça, puis d'un coup, un gros blanc, et des lumières qui pètent un grand coup, ainsi que le bruit assourdissant d'un énorme pétard, le tout faisant donc penser à une bombe atomique. Et L'Aventurier en route donc !
Au final, le groupe nous avait fait finir le concert avec l'aventurier, avant de revenir pour le rappel avec seul Nicolas Sirkis et sa guitare sèche.
Nous avons donc eu le droit au premier final explosif et sensationnel, et à un autre plus calme, mais tout aussi bien.
Et avant de partir, il prend quand même quelque photos du public avec son iPhone, histoire de les publier sur son Twitter dans le quart d'heure qui suivait :D
C'est bien l'effet que ce concert m'a fait ce soir.
Ce soir, le "meteor tour" d'Indochine passait donc à Nantes, plus précisément au Zénith pour la deuxième fois, après leur dernier passage le 23 Mars dernier.
Ce concert était le dernier en Pays de la Loire pour cette année.
Le concert commence à 20h30, mais l'ouverture des portes du Zénith se fait dès 18h30.
On passe donc par le Leclerc juste à coté, histoire d'acheter quelques sandwichs, ainsi qu'une bouteille d'eau.
On va direct au Zénith donc, dans la file "Accès VIP" (trop classe, en passant) puisque nous avions des places invitées.
Mais VIP ou pas, le mec de la sécurité nous a chipé notre bouteille d'eau, et on a même pas pu la récupérer !
Après cette grande mésaventure, nous sommes donc rentrés, pour attendre jusqu'à plus ou moins 20h, pour que Suzanne Combo, qui assurait la première partie, rentre en scène.
Suzanne Combo, c'est celle qui chante avec Indochine dans la chanson "Un ange à ma table" :
Un petit quart d'heure d'attente, et le noir.
Une vidéo projetée sur une grande toile : les visages d'Hitler et de Staline sont les premières choses qui apparaissent.
Alors, attention, Indochine ne fait pas de propagande, rassurez-vous, c'est juste que le thème principal du concert était la guerre, et que l'ouverture était donc en rapport.
Puis la voix de Nicolas Sirkis qui se met à chanter et, bon sang ! mais où peut donc bien être ce sacré Nicolas, il n'y a même plus de scène !
Puis la toile tombe, et le public en folie - parce que oui, ce soir, un public "en folie" n'est même qu'un euphémisme - découvre donc le groupe Indochine mené par Nicolas qui commence avec une chanson en hommage à son frère.
Je ne saurais vous citer l'ordre des chansons, mais je peux vous dire qu'il y avait Little Dolls, Play Boy, Le Lac, Un ange à ma table (avec Suzanne Combo qui est revenue sur scène pour le duo) de l'album "La république des météors" ainsi que 3 nuits par semaine, L'Aventurier, Kao Bang, ou J'ai demandé à la lune.
Il y en avait d'autres bien sûr, mais je ne me souviens plus de toutes (d'autant qu'il y en avait 1 ou 2 que je ne connaissais même pas).
Et des lives de fou quoi !
Que ce soit pour 3 nuits par semaine ou pour L'Aventurier, on a vraiment eu le droit à de vrais lives, des chansons un peu modernisés, mais juste ce qu'il faut, et du pure Indochine.
C'est avec l'ouverture de l'Aventurier que j'ai trouvé le mot qui convenait le mieux pour ce concert.
5 écrans se trouvait derrière la scène, diffusant des vidéos pendant les chansons, et nous pouvions regarder une scène de guerre alors que le groupe n'était plus sur scène en attendant.
Nous ne savions pas trop à quelle chanson s'attendre après ça, puis d'un coup, un gros blanc, et des lumières qui pètent un grand coup, ainsi que le bruit assourdissant d'un énorme pétard, le tout faisant donc penser à une bombe atomique. Et L'Aventurier en route donc !
Au final, le groupe nous avait fait finir le concert avec l'aventurier, avant de revenir pour le rappel avec seul Nicolas Sirkis et sa guitare sèche.
Nous avons donc eu le droit au premier final explosif et sensationnel, et à un autre plus calme, mais tout aussi bien.
Et avant de partir, il prend quand même quelque photos du public avec son iPhone, histoire de les publier sur son Twitter dans le quart d'heure qui suivait :D
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